top of page
humanilire

Enfants et parents séparés :Gérer les défis émotionnels !Pour nos Enfants et Nous...

La séparation parentale, c’est un sacré chantier, hein ?


Que vous soyez au début de ce parcours ou déjà en route, vous savez que l’aventure n’est pas simple. Non seulement vous devez apprendre à gérer vos propres émotions, mais vous avez aussi la lourde tâche d’aider vos enfants à naviguer à travers leurs sentiments complexes. Oui, c’est parfois un chaos émotionnel où tout le monde se cherche. Mais la bonne nouvelle ? On peut y arriver. Ensemble Chers HumaniParents et HumaniKids.


1. Les enfants ont le droit d’avoir des émotions (et vous aussi) !

Commençons par un fait : il est tout à fait normal que vos enfants soient bouleversés par la séparation. Ce n’est pas parce qu’ils font des crises ou qu’ils disent des choses parfois blessantes qu’ils ne vous aiment plus ou qu’ils vont mal tourner. Ils sont simplement en train d’exprimer leur confusion et leur douleur. Et devinez quoi ? Vous avez le droit, vous aussi, d’avoir des émotions.


Mais voici le secret : en tant que parent, vous êtes leur phare. Ils ont besoin de voir que, même si vous traversez une tempête, vous êtes toujours debout. Alors, autorisez-vous à ressentir, mais aussi à montrer à vos enfants qu’il est possible de surmonter la douleur.


Petit conseil pratique : Quand votre enfant pique une crise, prenez une grande inspiration (même si c’est difficile). Rappelez-vous que c’est une manière pour lui d’exprimer ce qu’il ne peut pas mettre en mots. Répondez avec empathie, même si vous n’avez qu’une envie : crier aussi. Oui, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais vous y arriverez. Courage !


2. Les phrases qui piquent... ouille !

Soyons honnêtes, il y a des moments où les enfants peuvent dire des choses qui font mal. “Je veux être avec papa, il est plus cool !” ou encore “Tu ne m’aimes pas, sinon tu ne serais pas partie !”. Des phrases assassines qui semblent venir de nulle part et qui touchent en plein cœur. Et pourtant, ces mots ne sont pas destinés à vous blesser, même si ça y ressemble. Ils expriment leur frustration et leur insécurité.


Que faire ? Ne prenez pas ces phrases personnellement. Respirez (encore une fois). Répondez calmement en reconnaissant leur douleur : “Je comprends que tu sois en colère et c’est ok d’être en colère. Mais je t’aime toujours, quoi qu’il arrive.” Oui, cela demande une patience d’ange, mais ça aide vraiment à désamorcer la situation.


3. La gestion des transitions : un vrai marathon émotionnel !

Passer d’une maison à l’autre peut être déroutant pour un enfant. Vous avez sûrement déjà vécu ce moment où ils reviennent avec un sac de vêtements dans une main et une montagne d’émotions dans l’autre. C’est

parfois difficile pour eux de changer de cadre, et cela peut se traduire par de la colère, de la tristesse ou des comportements inattendus.


Là encore, c’est l’empathie qui fait la différence. Reconnaissez que ces transitions sont difficiles : “C’est dur de quitter papa et de venir ici, je comprends.” Essayez de créer un environnement où votre enfant se sent en sécurité et où il sait que ses sentiments, même négatifs, sont valides.


Astuce : Pourquoi ne pas instaurer un petit rituel de transition pour adoucir les allers-retours ? Un moment câlin, une activité spéciale juste après le changement, ou même simplement un temps pour décompresser avant de passer à autre chose. Cela peut grandement aider.


4. La co-parentalité : un art en soi !

Ah, la co-parentalité. Parfois, c’est un ballet harmonieux. Et parfois, c’est plus proche d’un combat de catch, avouons-le. Vous essayez tous les deux de faire au mieux pour votre enfant, mais il est facile de tomber dans le piège des reproches et des non-dits. Pourtant, la clé pour bien gérer la co-parentalité, c’est la communication. (Oui, je sais, plus facile à dire qu’à faire.)


Conseil pratique : Essayez de garder en tête que vous avez un objectif commun : le bien-être de votre enfant. Même si vous n’êtes plus partenaires dans la vie, vous êtes toujours partenaires dans votre rôle de parents. Si les tensions sont fortes, il peut être utile de fixer des règles claires concernant la communication et d’utiliser des outils comme un carnet partagé ou des applications dédiées pour organiser les plannings sans y mettre trop d’émotion.


5. Prenez soin de vous (oui, vous !) !

S’occuper de ses enfants après une séparation peut devenir une occupation à plein temps, au point que vous en oubliez de vous occuper de vous-même. Et pourtant, c’est essentiel. Comment voulez-vous être le parent présent et aimant dont vos enfants ont besoin si vous êtes à bout de nerfs ?


N’ayez pas peur de demander de l’aide. Que ce soit à vos amis, à votre famille ou à un professionnel, prendre du temps pour vous n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Faites du sport, lisez, sortez, ou même, simplement, prenez un bain tranquille. Rappelez-vous que pour prendre soin des autres, vous devez d’abord prendre soin de vous-même.


6. L’humour, le meilleur des alliés !

Dans tout ce chaos émotionnel, l’humour peut devenir votre meilleur ami. Non, ce n’est pas de la légèreté mal placée, c’est une manière de relâcher la pression et de se rappeler que, malgré les difficultés, la vie continue. Riez avec vos enfants, même des petites choses du quotidien. Transformez une situation tendue en une occasion de sourire. Cela ne résout pas tout, mais ça aide énormément.


Pour conclure cet article, même si conclure sur ce sujet est impossible car on pourrait en parler des heures...Au final, être parent après une séparation, c’est un peu comme devenir funambule : il faut trouver l’équilibre entre les émotions, les responsabilités et les besoins de chacun. Parfois, on avance doucement, parfois on vacille. Mais sachez ceci : vous n’êtes pas seuls. Vous faites du mieux que vous pouvez, et c’est déjà énorme. Vos enfants ressentent votre amour, même quand c’est difficile. Et si, un jour, tout semble trop lourd à porter, rappelez-vous que la résilience est une force !


On est tous ensemble chers HumaniParents et HumaniKids ;)



 

N’hésitez pas à partager vos expériences, vos réussites, et même vos petites galères dans les commentaires et/ou sur nos réseaux !

La route est plus agréable quand on la parcourt ensemble.

6 vues0 commentaire

Comments


bottom of page